Thomas Feldmann

Pour Thomas Feldmann, agir de manière sociale et écologique est une évidence. « J’aime la vie. J’apprécie de passer du temps dans la nature parce que je me sens connecté à ce qui m’entoure. Aux êtres humains et l’environnement.

Cette attitude se reflète dans sa vie et dans ses actions quotidiennes. Il a été enseignant dans le secondaire, avant de reprendre une école de langues, puis de travailler ensuite dans le domaine de l’insertion professionnelle. Aujourd’hui, il a deux emplois. Il est directeur d’Energiegenossenschaft Schweiz et responsable des projets communs des paroisses générales évangéliques réformées et catholiques romaines de Berne et environs. D’un côté, Thomas Feldmann promeut donc la transition énergétique, de l’autre, il supervise l’attribution ciblée des fonds de l’Église à des projets sociaux.

Un collaborateur d’Energiegenossenschaft Schweiz, Hasan Güneyli, a un jour bénéficié d’un coaching d’EPER MosaïQ, le service spécialisé adressé aux migrant·e·s qualifiés. Grâce à l’orientation de carrière proposée par MosaïQ, Hasan Güneyli a rapidement pu suivre une formation continue pour devenir solarteur (généraliste du solaire). En Turquie, son pays d’origine, il était ingénieur en génie électrique. Comme son niveau d’allemand n’était pas suffisamment bon, il a commencé par occuper des postes moins qualifiés et a ainsi trouvé un emploi fixe comme monteur de panneaux solaires au sein d’Energiegenossenschaft Schweiz.

L’entreprise emploie de nombreuses personnes issues d’autres secteurs. Des personnes qui ne maîtrisent pas bien l’allemand, mais aussi des personnes qui préfèrent le travail physique sur les toits à un emploi de bureau. « Ce genre de personnes sont très précieuses. Je crois que tout le monde est doué pour quelque chose. Et si une personne est motivée et souhaite se former, c’est une situation gagnant-gagnant », explique Thomas Feldmann. Selon lui, cela permet à l’entreprise de développer son savoir-faire. « Toutefois, poursuit-il, l’accompagnement de services comme MosaïQ est essentiel. Si j’avais dû m’occuper de toute la paperasse et chercher quelle formation continue était envisageable pour Hasan Güneyli, je ne l’aurais pas fait. » Il raconte que la conseillère de MosaïQ a pris le temps de le rencontrer et de voir ce qu’il fallait faire. Elle a aussi parlé à la commune.

Thomas Feldmann affirme que pour lui, la cohabitation est un échange donnant-donnant. Il cite le chansonnier Mani Matter : « ceux pour qui cela va bien vont mieux, est-ce qu’ils vont mieux ceux pour qui cela va moins bien » (traduction). À l’époque où il dirigeait l’école de langues, il avait engagé un jeune homme atteint du syndrome d’Asperger. Cette collaboration aussi s’était avérée très précieuse. Et, déjà à l’époque, Thomas Feldmann avait bénéficié d’un accompagnement par un service de conseil externe. Aujourd’hui, cet homme travaille au sein d’Energiegenossenschaft Schweiz.

L’aspect social est tout simplement important pour Thomas Feldmann et le pousse à s’engager en faveur de l’inclusion. « Quand je suis avec quelqu’un qui va moins bien que moi, j’aimerais qu’il y ait un équilibre. Dans un jeu, sur le long terme, je n’ai aucune satisfaction à être le seul à gagner. Je veux que les deux parties y gagnent quelque chose, qu’un équilibre s’instaure. »

En tant que directeur d’Energiegenossenschaft Schweiz (la coopérative suisse de l’énergie), Thomas Feldmann est un interlocuteur important pour le projet EPER MosaïQ Berne. Il permet à des migrant·e·s qualifiés de trouver un emploi dans le secteur de l’énergie solaire.
« Je crois que pour avancer, il faut aller vers les autres, il ne faut pas agir contre, mais avec les autres. »

Thomas Feldmann

Nous croyons en Thomas Feldmann parce que l’inclusion est pour lui une évidence.

Pour Thomas Feldmann, agir de manière sociale et écologique est une évidence. « J’aime la vie. J’apprécie de passer du temps dans la nature parce que je me sens connecté à ce qui m’entoure. Aux êtres humains et l’environnement.

Cette attitude se reflète dans sa vie et dans ses actions quotidiennes. Il a été enseignant dans le secondaire, avant de reprendre une école de langues, puis de travailler ensuite dans le domaine de l’insertion professionnelle. Aujourd’hui, il a deux emplois. Il est directeur d’Energiegenossenschaft Schweiz et responsable des projets communs des paroisses générales évangéliques réformées et catholiques romaines de Berne et environs. D’un côté, Thomas Feldmann promeut donc la transition énergétique, de l’autre, il supervise l’attribution ciblée des fonds de l’Église à des projets sociaux.

Un collaborateur d’Energiegenossenschaft Schweiz, Hasan Güneyli, a un jour bénéficié d’un coaching d’EPER MosaïQ, le service spécialisé adressé aux migrant·e·s qualifiés. Grâce à l’orientation de carrière proposée par MosaïQ, Hasan Güneyli a rapidement pu suivre une formation continue pour devenir solarteur (généraliste du solaire). En Turquie, son pays d’origine, il était ingénieur en génie électrique. Comme son niveau d’allemand n’était pas suffisamment bon, il a commencé par occuper des postes moins qualifiés et a ainsi trouvé un emploi fixe comme monteur de panneaux solaires au sein d’Energiegenossenschaft Schweiz.

« Je crois que pour avancer, il faut aller vers les autres, il ne faut pas agir contre, mais avec les autres. »

L’entreprise emploie de nombreuses personnes issues d’autres secteurs. Des personnes qui ne maîtrisent pas bien l’allemand, mais aussi des personnes qui préfèrent le travail physique sur les toits à un emploi de bureau. « Ce genre de personnes sont très précieuses. Je crois que tout le monde est doué pour quelque chose. Et si une personne est motivée et souhaite se former, c’est une situation gagnant-gagnant », explique Thomas Feldmann. Selon lui, cela permet à l’entreprise de développer son savoir-faire. « Toutefois, poursuit-il, l’accompagnement de services comme MosaïQ est essentiel. Si j’avais dû m’occuper de toute la paperasse et chercher quelle formation continue était envisageable pour Hasan Güneyli, je ne l’aurais pas fait. » Il raconte que la conseillère de MosaïQ a pris le temps de le rencontrer et de voir ce qu’il fallait faire. Elle a aussi parlé à la commune.

Thomas Feldmann affirme que pour lui, la cohabitation est un échange donnant-donnant. Il cite le chansonnier Mani Matter : « ceux pour qui cela va bien vont mieux, est-ce qu’ils vont mieux ceux pour qui cela va moins bien » (traduction). À l’époque où il dirigeait l’école de langues, il avait engagé un jeune homme atteint du syndrome d’Asperger. Cette collaboration aussi s’était avérée très précieuse. Et, déjà à l’époque, Thomas Feldmann avait bénéficié d’un accompagnement par un service de conseil externe. Aujourd’hui, cet homme travaille au sein d’Energiegenossenschaft Schweiz.

L’aspect social est tout simplement important pour Thomas Feldmann et le pousse à s’engager en faveur de l’inclusion. « Quand je suis avec quelqu’un qui va moins bien que moi, j’aimerais qu’il y ait un équilibre. Dans un jeu, sur le long terme, je n’ai aucune satisfaction à être le seul à gagner. Je veux que les deux parties y gagnent quelque chose, qu’un équilibre s’instaure. »

En tant que directeur d’Energiegenossenschaft Schweiz (la coopérative suisse de l’énergie), Thomas Feldmann est un interlocuteur important pour le projet EPER MosaïQ Berne. Il permet à des migrant·e·s qualifiés de trouver un emploi dans le secteur de l’énergie solaire.